Juillet, un matin calme. Le ciel se drape de nuages cotonneux, que j'apprends à nommer altocumulus stratiformis. Je lève les yeux, encore une fois, captivée par la danse silencieuse de ces moutons aériens. Il y a quelque chose de méditatif dans cette contemplation : le temps semble suspendu, les pensées se calment, et je me perds dans la poésie simple de l’instant.
Le filtre noir et blanc de mon Camp Snap transforme ces nuages en textures profondes et contrastées, accentuant le relief du ciel et le subtil mouvement des formes. Observer, photographier, laisser le regard errer — c’est ainsi que je capture ma fascination pour le ciel, ce vaste espace qui semble raconter une histoire différente chaque jour.
Peut-être que je ne saurai jamais ce que tout cela dit de moi, mais peu importe. Ce matin, je me contente d’être là, à regarder, à ressentir, à laisser l’inspiration venir.

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